jeudi 11 octobre 2012

Car love... missed opportunity



Il y a de cela quelques années, je sortais depuis peu avec une autre fille à ce moment là, notre couple allait mal, mais j'avais décidé de nous donner une chance quand même. Pendant cette période j'avais régulièrement des activités d'affaires et régulièrement des 5 à 7. Lors d'une telle soirée, mon amie Audrey était là. La soirée était belle sur une terrasse dans le vieux port ( l'Inox dans le temps ), température magnifique. J'avais passé presque toute la soirée avec Audrey, toute chic dans son tailleur foncé, sa chemise blanche entrouverte laissait présager une jolie poitrine parfaite à mon gout. Son parfum était enivrant, ( merde je vous écris cela et j'ai de bons souvenirs qui reviennent à moi ). A la fin de la soirée en marchant vers mon auto, je lui offre d'aller la reconduire à son stationnement beaucoup plus loin.

Quelques minutes plus tard, nous voici stationné devant la gare du palais à jaser encore de tout et de rien. Je me souviens encore de son parfum dans l'auto. Après avoir jasé presqu'une demi heure elle me demande un peu gênée si elle peux m'embrasser, moi l'idiot je pensais que c'était parce qu'elle partait, bien attendu lui dis-je je ne te retiendrai pas plus longtemps. Non me dit-elle au contraire, je veux t'embrasser, il faut que je te dise que depuis qu'on se connait je pense toujours à toi et je sais que tu as une blonde, mais j'ai tellement envie de t'embrasser... AHRGRR misère, j'en mourrais d'envie également. Je l'ai prise alors dans mes bras, la serrant contre moi, joue contre joue, et je résistais à l'envie de l'embrasser, et j'ai résisté. Quoiqu'elle m'embrassa un moment dans le cou. Je me suis dis, et je pense que c'était la bonne chose, que je ne voulais pas lui donner de faux espoirs à ce moment là, que j'étais dans une période compliquée avec ma blonde et que ce ne serait pas honnête envers elle de l'embrasser. Mais qu'est ce que nous nous résistions alors... On s'est parlé longuement après, elle était déçu ( et moi donc ) mais appréciait grandement ma retenue, quoiqu'elle aurait préféré m'amener à son condo pour finir la soirée me dit-elle en riant. En revenant chez moi, ma blonde m'avait demandé comment était ton 5 à 7, bien ordinaire lui avais-je répondu. J'étais alors parti sous la douche afin de faire baisser toute la tension qui s'était accumulée dans mon sexe !

Quelques mois passèrent et Audrey est partie travailler en France, depuis ne subsiste que notre lien facebook... Encore une occasion ratée, mais je ne peux la considérer comme tel car l'aspect affectif était en jeu, et je crois qu'il ne faut pas jouer avec les sentiments des autres, ( juste avec leur corps :))) ). 

Non mais sérieusement, est-ce qu'à la base d'une relation infidèle il doit y avoir une personne qui exploite les sentiments de l'autre ?

10 commentaires:

  1. Mais elle , pour pas dire " ? On" s'en fout! Tu lui fais tout le ben qu'elle te demande, et pas moins; et tu ne t'offenses pas.. Point

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  2. A qui le dis tu ! C'est un peu ce que je me dis tant d'occasions ratées de passer de bons moments par crainte des possibles effets du lendemain.

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  3. Les grands de l'infidelité pourront te répondre... Perso, je pense pas que ce soit une histoire d'exploitation de l'autre, mais une histoire de moment présent... une situation se présente, elle fait l'affaire au deux, elle se vie... et pas d'attente. Si ceci franchie la frontière de l'attente... c'est que c'est plus qu'une relation amant-amante pour le cul. C'est a un autre niveau, cul inclus (et difficile sur le point des sentiments)... Pour certain c'est juste une autre forme de couple sans les troubles du couple, pour d'autre c'est juste vivre des passions aux quotidiens.

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  4. Possible, mais imagine la plupart des moments ou les occasions d'infidélité sont venues frapper à ma porte ce sont principalement lors des instants ou je savais que l'autre personne avait des sentiments envers moi...

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  5. Et j'avoue que quand je suis l'amante d'un homme pour qui j'ai des sentiments, ma "prestation" à son égard vaut d'autant plus le "détour"!
    Les caresses d'une femme amoureuse, La symphonie sur une flûte traversière au lieu de juste souffler dans un pipo des notes sans suite ...être la vague enveloppante, le rouleau d'équinoxe en bord d'océan plutôt que l'étoile de mer qui sèche qur le sable..
    C'est comme cuisiner un menu gastronomique plutôt que simplement soulever l'opercule d'un paquet de bacon et manger directement sans assiette...
    Et puis un homme que j'aime au delà de pour sa queue raide et vigoureuse, je l'embrasse avec passion, je le lèche où il aime, je regarde dans ses yeux au lieu de les fermer pour mieux penser à l'autre, l'absent! Et, je vais faire augmenter et durer son plaisir: je vais le gâter tout simplement.
    Si je veux juste baiser, je prends ma part dans l'échange, sans passion. Il reçoit une prestation en retour de la sienne. La rencontre de 2 gymnastes qui font leur entraînement, juste histoire d'entretenir le matériel,..et on y repense pas plus qu'au menu du dernier repas. C'était quoi déjà?

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  6. Non il ne doit pas y avoir d'exploitation des sentiments de l'autre. Personnellement, je préfère mettre les sentiments de côté. C'est plus souvent qu'autrement jouer avec le feu. Dans ton cas relaté ici, je crois que c'était mieux de ne pas passer à autre chose... Les désirs n'étaient pas les mêmes pour vous deux!

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    1. Pas d'accord OEV. Si un jour cette fille dans la voiture c' est moi et que je demande au gars de m'embrasser, ça veut dire que j'ai envie qu'il m'embrasse, là, tout de suite. Et vivre mon plaisir présent plutôt que la frustration en continu!
      Et je me fiche pas mal de vivre avec lui après, ou tout ce qu'un mec peut s'imaginer qu'on va attendre de lui: Je veux les bises et les câlins quand c'est l'heure possible qu'on se les fasse. Pas qu'il chamboule son existence à s'en tordre le ventre et la culpabilité pour simplement quelques caresses et un baiser qu' il saurait donner à la première qui ne les mérite pas et qu'il serait sûr de ne pas avoir à saluer la fois d'après? Pendant que la gentille douce aimante, elle pourrait se brosser et aller mourir de chagrin? C'est tout le bien que tu lui souhaites? C'est pas ça, hein, ton idée?
      Je peux demander un baiser ou plus si on a le temps et la place, pas qu'il revienne dès le lendemain pour refaire la même chose et le jour d'après et le jour d'après après aussi.
      Je peux penser à lui en continu avec le même plaisir, et sans lui demander de divorcer ni m'épouser! Je dis que si les deux désiraient ce baiser, les deux y avaient droit.

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  7. Voilà un débat fort intéressant qui est possiblement aussi à la base de mes occasions ratées, la pseudo culpabilité ou crainte de faire du mal, VS l'envie d'un instant intense avec une personne...

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  8. C'est plus qu'un débat en l'air là. Bien sûr je ne suis pas dans le cas de cette fille et tu peux trouver êtrange que j'ose parler à sa place. Mais j'ai un purée de profond sens de l'empathie qui fait que je me dis que si j'avais été dans sa position, si tu ne m' avais pas au moins prise et serrée dans tes bras pour me dire combien tu aurais aimé et combien je comptais pour toi, je crois qu'à sa place je serais complètement...Infiniment triste! Pour résumer.
    Tu vas pas aller le chanter chez toi. Tu sais te taire quand même.
    A qui t'as donc peur de faire tant mal?

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  9. Excuse-moi. J'ai eu envie de supprimer. Ne te gène pas si tu veux;
    C'est juste que je me dis: ça doit pas être évident pour elle non plus. Se voir là, comme rester à sécher sur place...Tu sais, j'en connais moi des filles qui savent bien faire la différence quand c'est l'heure de jouer avec leur corps, et celle de s'arranger après avec leurs sentiments. Si les sentiments sont déjà là, c'est comme pas la peine de priver la demoiselle. Tu ne crois pas que c'est ça lui faire du mal?
    Même que...des sentiments peuvent aussi se réveiller chez une autre venue au début rien que pour la bagatelle! Si personne prend le risque, il ne se passe jamais rien, et la vie: vaste platitude!
    Faux que je prenne pas tant ça à coeur. Je parle peut-être de ce que je ne connais pas?
    Je te bouffe la langue, je te pince les lèvres et la bouche. Je t'y enfourne foufoune et seins nus. Tu te dépatouilles avec ça: ça t'apprendra!
    Et si ça ne suffit pas je te mets la main au panier et je te le malaxe et l'aspire jusqu'à ce que tu pleures ton pardon, en larmes de nacre, dessus mon front...

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